Un dernier symposium ré-créatif sakurien
du 27 décembre 2013 au 02 janvier 2014.
Après 12 années de péripéties colocatives, la Cerise Noire va devoir fermer ses portes.
La République Sans Tout Ça (annexée en ses murs) désire célébrer la fin
de cet habitat avec tou-te-s cell-es-ux qui l'ont connu de près ou de
loin.
Nous voyagerons d'abord dans l'intimité du lieu, pour ensuite crier son
existence à l'extérieur, dans son voisinage proche, son quartier
bourgeois et chiant.
Tous les détails son disponibles sur le blog de la Villa Sakura
LA RÉPUBLIQUE SANS TOUT ÇA
La république sans tout quoi ?
lundi 23 décembre 2013
lundi 15 juillet 2013
Villa Vaulry 2013
Et voila une nouvelle aventure de la RSTÇ,
pour suivre ce qui s'y passe : Villa Vaulry
L'invitation est ouverte! En espérant vous voir sur place.
La nouvelle génération est prête à reprendre le relai.
La fin de certains offre tant de débuts aux autres, vive la liberté!
pour suivre ce qui s'y passe : Villa Vaulry
L'invitation est ouverte! En espérant vous voir sur place.
La nouvelle génération est prête à reprendre le relai.
La fin de certains offre tant de débuts aux autres, vive la liberté!
vendredi 14 décembre 2012
Présentation Publique d'un C.O.R
Salut a tous!
Une nouvelle présentation d'un C.O.R va se passer le 05 Janvier au 1025 de la Chaussée d'Alsemberg, 1180 Uccle.
pour plus d'informations : Collectif d'Ouvrier Refléchissants
Une nouvelle présentation d'un C.O.R va se passer le 05 Janvier au 1025 de la Chaussée d'Alsemberg, 1180 Uccle.
pour plus d'informations : Collectif d'Ouvrier Refléchissants
vendredi 26 octobre 2012
Tout a une fin, et n'est qu'un début.
Il faut savoir l'accepter.
La République Sans Tout Ça est une idée dont les acteurs se sont éparpillés.
Une idée qui attend quelqu'un pour la porter à nouveau, l'approfondir, la développer.
Une idée brûlante et vivante, qui, si vous l'adoptez, vous donnera de la fièvre.
Une idée loin des mondanités qui caractérisent l'art contemporain.
Avant-garde, dites-vous ? J'aimerais le croire, oui.
Je dis à tous ceux qui auront porté leur intérêt et pris part à cette idée : merci !
À bientôt, ici ou là, ailleurs, partout.
Antoine
PS : Pour ceux qui n'ont pas très bien compris ce message (j'ai eu plusieurs retours confus), il s'agit là de mes adieux à la République Sans Tout Ça. C'est mon dernier message, alors j'y ai mis un peu d'émotion...
Et comme presque la totalité de ce qui se trouve sur le(s) blog(s) fut posté et entretenu par moi, j'ai une intuition que ça ne va plus autant bouger qu'avant.
Mais je me trompe peut-être : le COR (auquel je ne prends pas part) est toujours actif, et je compte faire perdurer les activités du projet Touché-Coulé, bien qu'en-dehors de la République Sans Tout Ça.
Encore une fois, en vous disant à bientôt... mais ailleurs !
Antoine
Il faut savoir l'accepter.
" Nous proposons en définitive de réfléchir ensemble sur la possibilité d'HABITER POÉTIQUEMENT LE MONDEet ce texte que vous lisez - et que nous vous invitons à écrire avec nous - se concentrera sur telles hypothèses :CRÉER = APPRENDRE HOMME = ÉTUDIANTHOMME = ARTISTE ART = VIE "
Manifeste à remplir n°0 (extrait)
La République Sans Tout Ça est une idée dont les acteurs se sont éparpillés.
Une idée qui attend quelqu'un pour la porter à nouveau, l'approfondir, la développer.
Une idée brûlante et vivante, qui, si vous l'adoptez, vous donnera de la fièvre.
Une idée loin des mondanités qui caractérisent l'art contemporain.
Avant-garde, dites-vous ? J'aimerais le croire, oui.
Je dis à tous ceux qui auront porté leur intérêt et pris part à cette idée : merci !
À bientôt, ici ou là, ailleurs, partout.
Antoine
PS : Pour ceux qui n'ont pas très bien compris ce message (j'ai eu plusieurs retours confus), il s'agit là de mes adieux à la République Sans Tout Ça. C'est mon dernier message, alors j'y ai mis un peu d'émotion...
Et comme presque la totalité de ce qui se trouve sur le(s) blog(s) fut posté et entretenu par moi, j'ai une intuition que ça ne va plus autant bouger qu'avant.
Mais je me trompe peut-être : le COR (auquel je ne prends pas part) est toujours actif, et je compte faire perdurer les activités du projet Touché-Coulé, bien qu'en-dehors de la République Sans Tout Ça.
Encore une fois, en vous disant à bientôt... mais ailleurs !
Antoine
mercredi 6 juin 2012
Parti pour Croatoan
Ce mois de juin seront diffusés quelques expérimentations (non) musicales de la République Sans Tout Ça sur Radio Campus Montpellier, dans le programme "Croatoan", qui se présente comme une exposition sur les ondes.
1 - Four6 par la République Nomade - le 20 mai 2010.
2 - Four6 par le Laboratoire de Recherche et d'Expérimentation sur l'Incitation au Désordre
- le 12 juin 2011.
- le 12 juin 2011.
3 - Mots-Paysages / Villa Vaulry (collage) par Antoine - 2011.
En supplément, un ou plusieurs Santoussiens seront invités à présenter ces pièces sonores lors d'une entrevue, toujours sur les ondes.
Rendez-vous sous le soleil.
mardi 22 mai 2012
Encubage royal
Touché Coulé : jeu de stratégie dans l'espace public.
Le 19 mai dans le centre-ville de Bruxelles.
Pour en savoir plus : http://touche-coule.blogspot.com
mardi 1 mai 2012
Fiesta des Ursulines
Pour la fête des Ursulines, la RSTÇ est invitées à participer à la construction d'une cabane DIY. Avec le collectif Brusk et leurs amis, il a été décidé que la cabane sera construite de différentes parties qui viendront se croiser.
Pour suivre cette aventure : http://ursuleshead.blogspot.com/
Si vous avez envie de nous rejoindre sur ce projet aussi bien au niveau de la conception que de la réalisation vous pouvez nous envoyer un courrier électronique : santoussiens gmail com
Pour en savoir plus sur la fête : http://www.brusk.be/home/spip.php?article359
vendredi 23 mars 2012
Fiesta Zinneke
Enfin ! Il était temps pour nous de consacrer un message à la plus dynamique, la plus enragée, la plus festive, la plus engagée, la plus tendre et la plus désordonnée association de Bruxelles... La Zinneke !
Non content d'être au cœur du tissu social de Bruxelles en organisant le folklore urbain et moderne de la Zinneke Parade tous les deux ans, cette association - qui partage avec nous sa philosophie de création participative - est pour beaucoup dans l'existence du Labo I.D. ainsi que du Ministère des Désordres Poétiques, dans lequel ses membres ont joué plus qu'une grande part !
Hommage donc, à sa folle énergie qui est venue soutenir nos folles envies, hommage au désordre joyeux et créatif qui nous nourrit les uns les autres et dans tous les sens, hommage en vous faisant écouter le grand désordre festif qui a eu lieu au Byrrh ce vendredi 23 mars pour la bien-nommée Fiesta Zinneke !
Non content d'être au cœur du tissu social de Bruxelles en organisant le folklore urbain et moderne de la Zinneke Parade tous les deux ans, cette association - qui partage avec nous sa philosophie de création participative - est pour beaucoup dans l'existence du Labo I.D. ainsi que du Ministère des Désordres Poétiques, dans lequel ses membres ont joué plus qu'une grande part !
Hommage donc, à sa folle énergie qui est venue soutenir nos folles envies, hommage au désordre joyeux et créatif qui nous nourrit les uns les autres et dans tous les sens, hommage en vous faisant écouter le grand désordre festif qui a eu lieu au Byrrh ce vendredi 23 mars pour la bien-nommée Fiesta Zinneke !
Avec, par ordre d'apparition : les Filles de Joie, les percussions Velotronics et DJ Luuuk.
PS : ceci n'est qu'une mise en bouche... Rendez-vous pour le grand désordre final le 19 mai !
PS : ceci n'est qu'une mise en bouche... Rendez-vous pour le grand désordre final le 19 mai !
jeudi 22 mars 2012
Touché-Coulé
Après s'y être intéressé à de nombreuses reprises, la République Sans Tout Ça
s'investit entièrement dans l'espace public pour son nouveau projet :
s'investit entièrement dans l'espace public pour son nouveau projet :
touché coulé
"Même la ville la plus striée dégorge des espaces lisses : habiter la ville en nomade, ou en troglodyte. Il suffit parfois de mouvements, de vitesse ou de lenteur, pour refaire un espace lisse. Et, certes, les espaces lisses ne sont pas par eux-mêmes libératoires. Mais c'est en eux que la lutte change, se déplace, et invente de nouvelles allures, modifie les adversaires."
(Deleuze et Guattari)
"En organisant les forces disponibles et présentes, l'individu s'engage suffisamment dans la transformation de l'espace social pour être lui-même transformé : il en devient auteur."
(Bianchini, à propos de Beuys)
"Même la ville la plus striée dégorge des espaces lisses : habiter la ville en nomade, ou en troglodyte. Il suffit parfois de mouvements, de vitesse ou de lenteur, pour refaire un espace lisse. Et, certes, les espaces lisses ne sont pas par eux-mêmes libératoires. Mais c'est en eux que la lutte change, se déplace, et invente de nouvelles allures, modifie les adversaires."
(Deleuze et Guattari)
"En organisant les forces disponibles et présentes, l'individu s'engage suffisamment dans la transformation de l'espace social pour être lui-même transformé : il en devient auteur."
(Bianchini, à propos de Beuys)
mercredi 29 février 2012
Venez Gueuler !!!
Samedi 3 mars sur la Grand' Place et
dans le Musée de la Ville de Bruxelles
de 19H à 01H
dimanche 19 février 2012
La R.S.T.Ç. comme concept vide
Une manière (parmi d'autres) de voir la R.S.T.Ç. :
La
« République Sans Tout Ça » n'a pour moi de réel
intérêt qu'en tant que concept vide. C'est une idée pure dont
chaque matérialisation se définit entièrement dans un temps, dans
un lieu, en fonction des personnes qui s'y trouvent. Comme je
l'entend, c'est peut-être même un concept tellement idéaliste
qu'il ne peut être pleinement réalisé.
Je
ne voudrais y voir aucune autre condition de départ que la décision
prise à un moment donné par quelques personnes (plus d'une) de
faire naître dans un « ici et maintenant » une
occurrence de la R.S.T.Ç. et d'en partager totalement la définition.
Ce devrait être un jeu dont toutes les règles sont entièrement
décidées par ceux qui y prennent part, au fur et à mesure qu'elles
s'avèrent nécessaires.
C'est
bien là ce que propose l'article premier de la constitution commune
à toutes les occurrences de la R.S.T.Ç. : « Toute
loi peut être proposée, modifiée ou abrogée à tout moment par
négociation et consensus entre toutes les personnes présentes sur
le territoire de la République Sans Tout Ça au moment de cette
prise de décision. Le présent article est le seul qui restera
immuable à chaque occurrence de la R.S.T.Ç. Quel que soit le lieu
et la durée d'apparition de la République. »
Ce n'est pourtant
pas une page blanche: le lieu, le moment et les personnes qui la
composent ont chacun une histoire, une existence préalable, et
celles-ci ne peuvent être niées. Je verrais plutôt chaque R.S.T.Ç.
comme une page entièrement bariolée, ou noircie d'une infinité de
caractères superposés, sur laquelle on appose une nouvelle grille
de lecture et surtout d'écriture. Nul besoin de prétendre qu'on ne
peut lire les signes préalablement inscrits, mais on n'en tiendra
compte que s'ils prennent un sens et une valeur dans le présent et
en la présence des personnes qui s'y trouvent confrontés. Il ne
nous resterait qu'à espérer que de nouveaux signes et surtout de
nouveaux sens puissent en jaillir, par la force du partage créatif.
Je
ne considère donc pas la R.S.T.Ç. comme un collectif, aussi ouvert
qu'il puisse être. Elle devrait rester un concept que chacun peut
s'approprier grâce à sa vacuité. Dans ces conditions, personne ne
peut revendiquer en être « membre », « citoyen »,
« ministre » ou même « représentant »;
personne ne devrait prétendre y appartenir à d'autres moments et
dans d'autres lieux que lors d'un occurrence déclarée. Être
Santoussien n'est qu'un état latent, qui prédispose à contribuer à
l'émergence de nouvelles occurrences de la R.S.T.Ç.
mardi 15 novembre 2011
Gueule tout ce que t'as en vie !
Exposition collective à Périple en la Demeure (Limerlé)
Vernissage et concert le samedi 26 novembre 2011
vendredi 21 octobre 2011
Ministère des Désordres Poétiques
Occurrence de la République Sans Tout Ça / Zinneke Parade
au Musée de la Ville de Bruxelles et sur la Grand' Place,
Museum Night Fever le 3 mars 2012 de 19H à 01H.
lundi 12 septembre 2011
Une (op)position sur l'idée d'un manifeste
Plus de six mois après son écriture (et en trichant sur la date de publication dans ce blog), je m'offre la liberté de rendre publique un petit texte qui explique pourquoi je préfère ne pas participer à l'écriture d'un manifeste (ou tout autre texte programmatique) de la R.S.T.Ç. :
Notre
chère République Sans Tout Ça est née de la réflexion conjointe
d'un petit groupe de personnes rassemblées autour de l'envie de
créer ensemble, dans tous les domaines de l'expression. Une idée
sur laquelle nous nous sommes rapidement mis tous d'accord fut posée
dans l'article premier de la constitution, commun à chaque
occurrence de la R.S.T.Ç. :
« Toute
loi peut être proposée, modifiée ou abrogée à tout moment par
négociation et consensus entre toutes les personnes présentes sur
le territoire de la République Sans Tout Ça au moment de cette
prise de décision. Le présent article est le seul qui restera
immuable à chaque occurrence de la R.S.T.Ç. Quel que soit le lieu
et la durée d'apparition de la République. Tous les articles qui
suivent ne sont que des propositions à faire approuver à chaque
apparition de la R.S.T.Ç. »
On
y ajoute souvent l'idée que «Sera Santoussien toute
personne qui le désire et le déclare ».
Cet article
constitutionnel fondateur, immuable dans son esprit, est pour moi la
seule déclaration d'intention générale valable pour la R.S.T.Ç.
Tout le reste est à définir pour chaque occurrence de celle-ci, en
fonction du contexte et des personnes qui la font naître. Il est
cependant bien entendu légitime pour cela de s'inspirer des
réflexions antérieures qui ont été menées lors de ses
apparitions précédente, ainsi que de tout apport extérieur ou
antérieur.
Je défendrais
l'appellation « Sans Tout Ça » plutôt que « Avec
Autre Chose » (ou toute autre variante), parce que cet autre
chose ne manquera pas de naître dès le moment ou on décide d'être
sans tout ça. Dès lors qu'on pose l'absence d'une structure de
pouvoir hiérarchisé, d'échanges commerciaux monétarisés, etc.
dans l'espace occupé par un collectif, il faudra bien que se mette
en place un mode de fonctionnement, de vie, d'organisation (aussi
informelle qu'elle puisse être). À plus forte raison si on désire
y créer collectivement, ce qui a toujours été le cas jusqu'ici et
ne devrait pas manquer de l'être à l'avenir sans qu'il soit
nécessaire de l'instituer en règle.
Il est donc
inutile de définir cet « Autre Chose » et même de le
nommer, puisque le principe de base implique une totale dépendance
de la structure qui naîtra en même temps qu'une nouvelle R.S.T.Ç.
au lieu et aux personnes qui la font naître et la vivent.
Je ne vois pas ce
principe comme une « Tabula Rasa » à proprement parler,
puisqu'il n'est pas question de nier des influences et prolongations
de réflexions posées antérieurement. La R.S.T.Ç. S'inspire
ouvertement de mouvements artistiques, utopiques et politiques
antérieurs, et poursuit une réflexion sur toutes les composantes de
la vie et de « l'être-ensemble ».
Un manifeste, une
déclaration d'intention ou tout autre document de ce genre me semble
comporter un risque de diviser plutôt que de rassembler et d'en
entrainer certains à ne plus se considérer comme Santoussien
puisqu'ils ne peuvent adhérer à tel ou tel point du programme. Il
ne suffit pas d'offrir à chacun la possibilité de compléter le
manifeste pour nuancer ou s'opposer à une idée qui y a été posée
précédemment : je vois mal comment on pourrait encore considérer
comme programmatique un texte aussi ambigu et contradictoire.
Peut-être
pourrais-je adhérer à un tel texte s'il était imprimé « au
crayon » (c'est-à-dire avec une encre qu'on puisse gommer,
technique qui reste encore à inventer). Mais même dans ce cas, ma
première performance serait d'effacer intégralement mon
exemplaire...
Je ne souhaite
certainement pas nier, bien au contraire, que la R.S.T.Ç. est le
lieu idéal pour voir jaillir les échanges d'idées, des
positionnements collectifs ou individuels sur celles-ci, des
propositions d'organisation sociale, de mode de vie ou de tout le
reste, ni les productions qui en découlent. Il faut au contraire en
favoriser au maximum le jaillissement, sans le canaliser ni en
prédéfinir la direction. L'idée que je me fais de la R.S.T.Ç.
m'empêche d'en établir le programme ou même une note d'intention.
Je ne pense pas
non plus que d'établir un écrit, même radicalement collectif,
puisse nous prémunir contre les prises de pouvoir à l'influence et
au charisme. Les différentes parties de ce texte seront elles aussi
tributaires de la puissance rhétorique de leurs écrivains
respectifs. Il importera donc de trouver d'autres stratagèmes pour
désamorcer ce danger.
Si un manifeste
devait malgré tout être rédigé, cela ne m'empêchera pas de
continuer à me considérer comme Santoussien. Je ne doute d'ailleurs
pas que la plupart des idées qui y seraient développées
rencontreraient mon approbation. Mais je ne le considèrerai jamais
comme un programme, simplement comme une des production collective
émanant d'un groupe de Santoussiens, une parmi tant d'autres. Juste
une proposition de plus...
samedi 10 septembre 2011
Manifeste à remplir
Chers amis,
Un manifeste à remplir - de nombreuses pages blanches sont à votre disposition. Il sera ré-édité, au même titre qu'une publication régulière, au fur et à mesure de son remplissage.
Quiconque veut participer à ce projet me contacte par mail, il recevra un exemplaire par la poste.
Quiconque veut participer à ce projet me contacte par mail, il recevra un exemplaire par la poste.
En vous saluant de haut en bas et sans tout ça.
Le Ministre des Manifestes
de la République Sans Tout Ça.
de la République Sans Tout Ça.
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